IntroJe vous propose un test de l'AHD SL2 132 L, sachant que cette board n'a pas été évaluée dans la presse spécialisée à ce jour (septembre 2012). L'idéal pour réaliser un test aurait été de comparer différents flotteurs au cours d'une même session, et si possible à plusieurs. Comme ça n'est pas facile à mettre en place, pour disposer d'une analyse un peu objective, j'ai partagé mes impressions sur le flotteur avec Franck Chaventon, un planchiste du 22 qui possède également une AHD SL2 132L. Ce test vous fournira une synthèse de nos ressentis… L'avis de Franck est intéressant, car non seulement Franck est un excellent planchiste mais il a changé régulièrement ses flotteurs en Slalom (il dispose d'éléments de comparaison), et s'aligne régulièrement en compétition sur des raids/slaloms. En particulier, il connait très bien les Starboard iSonic qui font référence dans le domaine.
Le shape L'AHD SL2 132 offre une largeur de 79,6 cm au plus large, un OFO ("One Foot Off" = largeur à 30,5 cm de l'arrière) de 55 cm, une longueur de 233 cm, pour un volume de 132 L. Elle existe en version 92 L, 112 L et 122 L. L'outline est compact, avec un scoop tendu. Les rails sont vifs. La carène en vé long est creusée d'un double concave progressif. Présence de Cut Out à l'arrière du flotteur pour réduire la surface mouillée au planning (classique sur quasiment tous les flotteurs de slalom modernes). Le shape a été conçu par Pascal Gerber en relation avec les coureurs AHD, notamment Diony Guadagnino, Loïc Legalois et Vincent Gourtay (breton que nous connaissons bien dans l'association Windsurfbreizh22 puisqu'il avait participé aux tests slalom avec Notik et qu'il s'était aligné au défi Wbzh22 2012). Le modèle de Franck, ainsi que le mien, sont noirs (il existe également en blanc). Le carbone est apparent par endroits où la peinture noire n'a pas été appliquée (par exemple sur la carène, le sigle AHD). Le look de la planche est franchement très réussi, et ne passe pas inaperçu ; le seul défaut de la couleur noire est qu'il faut vraiment bien penser à ouvrir (et refermer ) la vis de décompression entre chaque navigations. La construction est excellente, en sandwich carbone. Les flotteurs AHD ne sont pas réalisés par les usines Cobra en Thailande comme la plupart des marques (Starboard, JP, Exocet, Mistral, F2, Tabou, Bic, Fanatic, Naish, RRD, Tiga…), mais par Terminatech en Tunisie, qui était déjà l'usine de l'ex propriétaire d'AHD avant sa reprise par la société bretonneTridenn (Thierry Pen gérant et ventes France, Jean Paul Riou ventes international, Bruno André conception et développement). J'ai pesé mon flotteur à 7,6 kg équipé sans aileron (donc y compris les footstraps et la visserie de l'aileron). Ca nous amène à moins de 7 kg flotteur nu si on retire 150 g par strap (600 g en tout). Pour 132 L, c'est vraiment du très light, l'AHD SL2 est au top en qualité de construction, parmi les planches les plus légères du marché ! Surfaces de voile utilisées pour les tests : de 7,8 m2 à 10 m2 J'utilise la SL2 avec une Challenger Sails Aero+ de 8.7 m2. Franck l'utilise avec des Neil Pryde Evo de 7.8 m2, 8.6 m2 et 10 m2. Pied de mât Le réglage du pied de mât va varier selon la voile, l'aileron, et le gabarit du planchiste. Pour un réglage de pied de mât donné, on va ensuite jouer sur la hauteur du wishbone pour trouver la "triangulation optimale". On part du principe que le wish se situe entre les épaules et les yeux en hauteur, selon la force du vent (plus bas en plage haute de vent, plus haut avec du vent faible) et la position du pied de mât. Pour mon gabarit (1,88 m / 81 kg), avec la Challenger Sails Aero+ 8,7 m2 et un Gasoil 6.3 de 46 cm, en plage basse de vent, je place la vis centrale de la plaquette avancée vers l'avant de 0,5 cm par rapport au centre du rail. Le centre du pied de mât est alors situé à 134 cm de l'arrière de la planche. Vincent Gourtay m'a confirmé qu'il utilisait un réglage similaire avec sa propre 8.7 m2 (juste avant le départ du Défi Wbzh22 !). Je fais varier ce réglage du pied de mât selon la force du vent (si le vent monte, j'avance le pied de mât, s'il baisse, je recule). Je finalise le tout en faisant varier un peu la hauteur du wishbone pour trouver l'équilibre qui me convient, (je monte le wish jusqu'à ce que mon pied avant ait tendance à sortir du strap tout seul). Update 20/09/2014 : avec mon Sonntag SL-R 46 je positionne le PDM au milieu -1 cm, ce qui me donne une planche bien aérienne qui pour autant se tient parfaitement dans le vent plus fort (même en 7.9m2). Franck (1,84 m/ 90 kg) a une autre approche : quelque soit la voile, il cherche à reculer au maximum son pied de mât et joue ensuite beaucoup plus avec la hauteur du wishbone. Ainsi, avec 10m2, son pied de mât se situe à 127cm de l'arrière, ce qui est radical. L'objectif de Franck est de naviguer le plus droit possible une planche très aérienne. Il constate que ce réglage fonctionne bien avec ses Neil PrydeEvo (qui semblent "favoriser" une position de pied de mat reculé). A noter que le pont est creusé au niveau du pied de mât : il faut donc penser à monter le wishbone 2 bons centimètres. L'aileron Le boitier d'aileron est un Deep Tuttle. Le choix de l'aileron dépend bien entendu de chacun (mensuration, poids, style de navigation), ainsi que du plan d’eau et conditions de référence. Ma préférence va au Gasoil 6.3. Franck utilise également les ailerons Gasoil 6.3. Avec la même voile Challenger Sails Aero+ de 8,7m2, j'ai pu tester la planche avec 3 ailerons : un Vmax en 47cm (mais test non représentatif car trop rapide et dans des conditions marginales), un S12 en 49cm et un Gasoil 6.3 en 46cm. Un peu plus tard, j'ai acheté un Soontag SLR-46 qui a transformé la planche dans les allures abattues en particulier, et qui est selon moi un aileron idéal pour ce flotteur. Franck utilise la SL2 avec 3 voiles et 2 ailerons : un Gasoil 6.3 de 43cm avec ses Neil Pryde Evo 7.8 et 8.6 et un Select S12 de 49 cm avec sa Neil Pryde Evo 10m2. S12 SlamXL 49cm : Laurent (CS Aero+ 8.7 m2) : bon calage de l'aileron dans le boitier, sans ponçage nécessaire. Démarrage au planning très rapide, remontée au vent très efficace, même à faible vitesse. L'aileron fait franchement lifter la planche. Présence sensible de l'aileron en navigation. Au delà de 20 nd de vent, la planche "monte" (trop à mon goût) en se calant (trop à mon goût) sur son rail. Lorsqu'on dépasse la vitesse de 20 nd, il siffle (typique des Select et ne gêne ne rien les performances) mais on sent qu'il sature en vitesse. Pas de décrochage (spin out). Je pense que cet aileron convient exclusivement en plage basse de vent (12-15 nd), pour les grands gabarits, et les spots ou le replacement est la priorité. A mon goût, il est trop grand pour le flotteur en 8.7 m2. Franck (Neil Pryde Evo 10 m2) : l'aileron est bien adapté pour cette taille de voile et le flotteur. En revanche, Franck sent qu'il sature en vitesse (c'est probablement inévitable à cette longueur). Gasoil 6.3 46cm (Laurent, CS Aero+ 8.7 m2) : j'ai du légèrement poncer le talon pour le rentrer dans le boitier de la SL2. En navigation, on ressent immédiatement le "toucher" typique du 6.3... Un aileron très fin, avec de l'appui mais qu'on sent très peu, avec une excellente glisse et une impression de légèreté, d'allègement de la planche, beaucoup de finesse. Excellent cap une fois le flotteur bien lancé, en glisse, confortable. On n'atteint pas le cap du Select S12 à basse vitesse en revanche la planche est plus vivante, plus joueuse, moins sur un rail. A l'abattée l'aileron se fait oublier et rend la planche aérienne. Les 46cm me semblent un bon compromis plage basse - plage haute. Je n'ai pas décroché (pas de spin out). Gasoil 6.3 43cm (Franck, Neil Pryde Evo 7.8 et 8.6 m2) : un aileron qui permet de très bien cranter une fois bien lancé, excellente glisse, se fait oublier. OK en taille pour la 7.8 m2, et un poil court pour la 8.6 m2 (45 cm aurait été mieux adapté). Select Vmax 47cm (Laurent, CS Aero+ 8.7m2) : je n'ai testé cet aileron que sur quelques bords, et c'était la première fois que je naviguais avec l'AHD… donc un peu rapide pour donner un avis solide. Cependant, l'aileron m'a semblé excellent sur ce shape, avec une très bonne remontée au vent (pourvu d'être bien lancé). L'aileron se fait oublier : on ne sent pas appui franc comme sur le S12 en 49 cm, il est bien plus discret (ce qui me convient mieux). Je pense que la remontée au vent est un poil moins bonne qu'avec un Gasoil (mais difficile d'objectiver ce point). Soontag SL-R 46cm (Laurent, CS Aero+ 8,7m2) : l'aileron idéal de mon point de vue. Il a suffisamment de surface pour permettre un planning tot, il apporte du cap. Aileron vivant, dynamique. Son gros plus par rapport aux Gasoil et Select : les allures abattues et les plans d'eau formés, où il calme la planche qui ne monte pas sur l'aileron même dans les plages haute. Le combo SL2 / 8,7 / SLR-46 est tout simplement parfait... Un tableau de correspondance surface / taille d'aileron (hors Soontag) : 7,8 m2 S12 43 à 45 cm Gasoil 6.3 43 à 45 cm Vmax 45 cm Sonntag SL-R 46 8,7 m2 S12 45 à 47 cm Gasoil 6.3 44 à 46 cm Vmax 47 cm Sonntag SL-R 46 9,5-10 m2 S12 49 cm Gasoil 6.3 48 cm Vmax 49 cm En navigation La planche offre une flottabilité théorique pour un gabarit d'un peu plus de 100kg. Le relevé au tire veille est facile pour un poids de 80 kg à 90 kg ; à noter cependant que le nez du flotteur est peu épais, et coule vite : il faut donc éviter de trop s'appuyer sur l'avant. On verra que cette caractéristique du shape rend les virements de bords un peu plus techniques que sur d'autres planches, plus volumineuses à l'avant. Dès le 1er bord, le chaussage des straps est immédiat : on les trouve immédiatement, sans chercher, y compris sur le pied arrière. La position est de tout confort, évidente, parfaite… Les straps sont de bonne qualité, confortables. Les pads sont glissant lorsque la planche est neuve. Ce phénomène est dû à un résidu du produit utilisé pour lubrifier les lames découpant le pad. Cela s'estompe assez rapidement, mais si on souhaite accélérer le processus, il est possible de frotter à l'eau claire avec le coté grattoir d'une éponge (doucement). Un passage avec un chiffon imbibé d'un peu d'acetone fonctionne également... L'antidérapant est d'excellente facture... voire assez agressif si on laisse ses genoux trainer en shorty... Le départ au planning est "explosif". On est frappé par la phase d'accélération, on ressent une très grande nervosité de la planche, probablement liée au mâtériau, à la légèreté et à la rigidité de la planche. Conjugué avec la position idéale des straps, le confort général de la position, cette capacité à accélérer vite est vraiment appréciable en démarrage (plage, waterstart…) et en relance en sortie de Jibe… Le confort et la facilité de la planche sont probablement le plus gros point fort et marquant du flotteur : la planche est immédiatement joueuse et très facile d'utilisation… Le flotteur présente un très bel équilibre. La facilité à chausser les straps et leur position/écartement parfaite doit également jouer un rôle dans ce feeling (par exemple le pied arrière est plus difficile à trouver sur une Drops de 106 L). En navigation dans le clapot la planche est très vivante, joueuse et reste étonnamment confortable et douce. On ne sent pas les 132 L, la planche survole et avale la mer formée de façon étonnante. Le flotteur épargne les chevilles et les genoux. On a le sentiment d'être bien équilibré et posé sur la tranche arrière de la planche, sans ressentir le "bras de levier " lié au volume avant de la planche. On a en permanence une impression de légèreté et de nervosité, le flotteur reste haute sur l'eau, aérien. Le nez avale le clapot sans impacter les appuis arrières sur la planche et on reste bien calé avec toujours un côté aérien, léger et confortable. J'insiste sur cet aspect du shape : l'équilibre trouvé dans les volumes avant/arrière est vraiment magique, on a l'impression que la planche, une fois lancée, ne possède "plus de nez", et que le volume utile qui subiste se trouve uniquement sous les pieds… L'assiette latérale est excellente, la planche reste bien dans l'axe choisi ; son côté joueur est toujours présent, on sent qu'on peut très facilement l'envoyer au lof et caper ou bien abattre très vite. En pleine abatée, au grand largue, la planche ne "moustache" pas : on peut descendre pleine bourre dans la mer formée sans avoir peur de se faire embarquer et la planche ne rebondit pas latéralement car elle reste haute au dessus de l'eau. Le comportement au près n'est pas le point fort de la planche en plage basse. En plage haute, on retrouve un cap correct, qui permet de suivre les meilleures en angle, mais avec une perte de vitesse comparée à une Starboard (référence en cap) - Par contre, quand on relache un peu d'angle, la planche se cale bien plus naturellement et reprend le dessus sur ses concurrentes. La capacité à caper dépend sensiblement de l'aileron. Avec le S12 49 la planche présente un bon cap si je me réfère aux quelques tirages de bourre sur Goas Treiz ou à l'Ile Grande (Défi et autres sorties). Le cap avec le Gasoil 6.3 de 46 cm est probablement un peu moins bon tant qu'on est pas dans les tours… avec de la vitesse il redevient équivalent. Dans tous les cas, l'AHD SL2 ne présente pas un aussi bon cap qu'une Starboard, qui est une référence dans ce domaine... Le jibe est très agréable et facile : le côté joueur de la planche se retrouve et, à nouveau, on n'a pas l'impression d'être sur une planche de 132 L en terme de vivacité. Il est facile de varier la courbe. La relance est très simple et le volume, les capacités d'accélération de la planche servent bien ce compartiment. Le virement de bord n'est pas des plus facile (mais je suis une buse en virement de bords), en particulier à cause de l'avant très fin en volume, il faut donc un peu de vitesse et ne pas trainer dans le passage des pieds sur l'autre amure… Les performances en vitesse : pas facile à caractériser, il faudrait faire des comparaisons systémâtiques pour objectiver ces performances. Franck pense que la planche est aussi rapide qu'une Starboard iSonic 127 tout en étant plus facile. Equipée d'une 7.8 m2, elle déboule aussi vite que la Starboard 107 L, mais en étant plus douce pour les jambes et les chevilles ! (au point que Franck s'est questionné pour ne conserver que la SL2 et passer directement à une 90 L en volume inférieur…). En conclusion Discrète (dans les journaux et forums), la AHD SL2 n'en est pas moins une vraie réussite. Une fabrication carbone au top (moins de 7 kg flotteur nu, rigidité), un shape très efficace et au niveau des meilleures board de sa catégorie : départ au planning canon, confort incroyable dans le clapot et la mer formée, probablement parmi ce qui se fait de mieux sur le marché, ce qui permet une très grande polyvalence du flotteur (de 7,8 m2 à 10 m2). Et enfin un rapport qualité/prix remarquable, avec un prix à 1 599 € très bien placé pour débouler sur tous les fronts ! Complément du 20/09/2014 : plus de recul sur la planche et un match test avec une RRD X-Fire 122 V6 Cela fait maintenant 2 ans que je prends toujours autant de plaisir avec mon AHD SL2 132 (aux côté de mes autres flotteurs, qui ont tourné : Falcon, Drops, RRD X-Fire, Starboard isonic). J'ai entre temps remplacé l'aileron Gasoil 6.3 Black 46cm par un Sonntag SL-R 46 cm qui colle encore mieux à la planche, en particulier quand le flotteur part dans les tours sur un plan d'eau agité : le contrôle, déjà remarquable sur ce flotteur, monte encore d'un cran. Récemment, j'ai eu l'occasion de pouvoir confronter la planche à une RRD X-Fire 122 V6 (merci mon ami Hugues pour ce prêt). J'ai peu comparer la X-Fire et la SL2 (GPS à l'appui) sur 4 sorties, avec des vents oscillant de 12 noeud à 18-20 noeuds et sur des plans d'eau très glissants à agités. Sur une des sortie, j'ai switché d'un flotteur à l'autre pour bien consolider mes impressions. J'ai utilisé à chaque fois le même aileron sur les deux planches (le SL-R 46cm), ce qui est probablement un peu désavantageux pour la X-Fire, qui a besoin de moins d'aileron (je pense que 44 ou 45 auraient suffit). Réglage PDM sur la X-Fire : 130 à 133 (avec un meilleur équilibre pied avant/arrière à 133. Voici les conclusions de mes ressentis : - Flotabilité : la X-Fire a un chouia moins de flotabilité ressentie que la SL2, mais c'est quasi insensible. La répartition des volumes est étonnament semblable ! Notamment les virements bords dégagent strictement la même sensation lors du passage par l'avant de la planche... - La X-Fire a un excellent départ au planning, plus tot et plus rapide que la SL2, malgré les 10L de plus de la SL2 (sur le papier) - La X-Fire a une capacité à partir au planning "sans abattre", alors qu'avec la SL2 il faut abattre franchement (sinon on peut rester longtemps à attendre). - La X-Fire a une bien meilleure capacité à maintenir le planning que la SL2, de part la puissance de son arrière. - Le cap est meilleur avec la X-Fire en vitesse basse et moyenne, mais la SL2 reprend du cap quand on est bien toilé et grimpe sur l'aileron au près de façon bien aérienne dès qu'on a un peu d'air établi - Speed : au près la X-Fire est rapide (environ 0,5 à 1 noeuds au GPS) que la SL2. - Au travers et largue bien abattu, la SL2 repasse devant, et on sent assez nettement plus de glisse - Sensations : la SL2 est beaucoup plus sympa, on se sent dans des chaussons et on a l'impression de faire voler la planche sur l'aileron, alors qu'avec la X-Fire on sent toujours la puissance sour le pied arrière et une planche avec plus de rail, un peu moins aérienne - Passage en mer difficile : la SL2 est bien plus facile. Plus le plan est défoncé, plus la SL2 creuse la différence de mon point de vue. - Jibe: moyen sur la X-Fire, excellent sur la SL2 - Je pense que c'est assez "objectif", même si je connais bien mieux la SL2. En synthèse, je pense qu'il vaut mieux s'aligner sur un slalom ou une LD avec une X-Fire qu'avec une SL2 pour les perfs en départ et maintien planning, et pour le cap/vitesse au près. Pour le reste (speed abattu, jibes, sensations, confort) la SL2 est au dessus... Laurent Hué, Franck Chavanton, le 17/09/2012 pour WindsurfBreizh22 - Merci à Jean Christian Villey pour la relecture et les corrections de fautes
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