À BNIG en soirée, pas avant 20h, après le rosé

Nav tardive entre 19h00 et 20h30 à St Sauveur en isonic 107 et warp 7.8. Impec.
Vent un peu irrégulier sous les îles, mieux avant Molene (18 noeuds je dirais) avec une belle houle qui rentrait.
Nav sans soucis, que du plaisir.

Session vers 14h30 à St Sauveur en exo 125 et aero 8.7.
Pas très fort en vent (14-15 noeuds max je dirais).
Planning en pompant, des aller retours au niveau de Molene.
28 km parcourus finalement.
Rejoint par Florian sur la fin, puis JLA qui s'est mis à l'eau quand on sortait.

Vers 15h 16h du côté de St Sauveur si le thermique rentre un peu.

Une photo de la bande de jeunes WSB22 en goguette.

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  bande-de-jeunes.jpg (222.10 KB)

Bonne session effectivement à St Sauveur avec les potes.
Y'avait 3 aero 6.2 sur l'eau (mesigue, Florian, Laurent) et peut être JLA aussi qui est arrivé un peu plus tard.
On a comparé les tensions d'amure, les positions des bouts de harnai, les geules des voiles...
Intéressant de partager les réglages.
Très bonne plage basse pour cette Aero, un profil stable qui passe bien les moles et encaisse les surventes (il suffit d'ouvrir un peu à la main arrière). Au prix d'une certaine lourdeur, un peu, qui me semble logique.
Avec un mât de 4m et une rallonge de 42 cm, c'est certainement une configuration qui permet d'avoir un profil moins raide aussi (comparé à un mât de 4,30m).

Sinon je confirme que JP "Steeve Austin" allait vraiment bien avec sa prothèse et sa Fluido

vers 17h à St-Sauveur.

Pour ceux (dont je faisais partie il y a quelques mois) qui ne connaissent pas le spot de Gruissan, voici ma trace GPS de la 4ème manche (le parcours 'normal' de 4 bords de 10 km chacun) avec les statistiques de vitesse.

En haut à droite c'est la plage des chalets, où l'on de met à l'eau et où on fait quelques essais, réglages avant de prendre le départ.
Le départ se prend au niveau de la flèche orange du haut.
La bouée n°1 (B1) est au niveau de la flèche orange du bas.
La bouée n°2 (B2) est au niveau du rond avec la croix en haut.
L'arrivée est au même niveau que le départ.
On fait : départ -> B1 -> B2 -> B1 -> arrivée.

Sur la trace on voit que j'avais un mauvais réglage après le départ : je n'arrivais pas à caper. Après avoir remis mon cerveau en place (recul des bouts de harnais, étarquage à l'amure, étarquage au palan d'écoute) ça allait mieux. On le voit sur la trace, je me recale progressivement vers la plage.
Le truc c'est que la plage des chalets est abritée. Dès que l'on passe la digue (où est située la ligne de départ), on prend au moins une force en plus. Et plus on progresse vers Port La Nouvelle (bouée 1), plus ça forcit.
Le but c'est donc d'arriver à caper à mort dès le départ pour se retrouver le long de la plage dans 50cm d'eau pour lâcher les chevaux. Alors que si on reste au large (comme je l'ai fait au début) on a la mer du vent : un clapot très creux qui fait des rampes.

La vitesse max n'est pas très élevée sur 1 ou 2 secondes (j'avais pourtant la sensation d'aller vraiment vite sur le bord B1 vers B2, mais je pense qu'on en garde toujours un peu sous le pied dans des conditions comme celles-ci où le vent est très fort et où les planches se croisent à quelques dizaines de centimètres parfois à 30 nœuds chacune).
Ce qui est plus intéressant c'est la vitesse sur 500 mètres avec le meilleur score proche de 25 nœuds. Et ça, je vous dis pas le pied !!!

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  gruissan-gpsar.jpg (234.35 KB)

Manche de 551 ce matin, 563 au général.
Deux manches terminées sur 4.
Ça aurait pu être mieux si je n'avais pas abandonné à la première et si j'avais pris le départ de la seconde.
Si j'avais 20 ans de moins aussi et si j'avais été plus entraîné également
Au final ça représente bien mon niveau je crois, il y a encore du travail pour s'améliorer, c'est heureux.
Manche en Falcon 90, vmax 31 et Gun transwave 4,5.
Départ milieu de ligne en second rideau, dans le paquet.
Du mal à caper dès le début, de la main arrière, j'arrive quand même à la bouée de PLN en abattant sur la fin. Retour vers Gruissan en rejoignant progressivement le bord de la plage .
Et là: le pied total à 30m du bord au taquet sur les 10km jusqu'à la bouée. Second AR tout pareil au premier: besoin de régler les bouts de harnais sur le bord tribord et redescente vers Gruissan au taquet en serrant les fesses.
Le vent était plus fort que prévu (35 noeuds) , il a fraichi en cours de manche. J'avais hésité à mettre la Aero 5.4, heureusement que je suis parti avec la Gun.
Quel panard cette descente pleine balle sur 10km sur du plat, vraiment dingue. C'était vraiment grisant.

Les leçons que j'en retire :
- Humainement c'était vraiment très bien: super ambiance, bienveillance, entraide, échanges très riches avec nos petits jeunes,
- Techniquement: je manquais d'expérience sur 3 points: mon matériel, la navigation en vent fort, les départs. Le niveau est élevé, les riders ne lâchent rien.

Manche musclée ce matin dans 45 noeuds en moyen, en Falcon 90, vmax 31, et Gun 4,5m matraqué à max.
Voile ouverte quasiment en permanence, des planches dans tous les sens, l'eau qui fumait dans les rafales.
Place de 356 derrière Manu que j'ai eu dans le collimateur tout le dernier bord, mais devant Florian
Bien content de l'annulation de la manche de l'après-midi.
Tout le monde est bien chaud pour les deux manches prévues demain dans une tram qui devrait molir un peu.

Soirée passée à recharger les batteries de Florian qui était prêt à revendre sa Patrick pour rentrer au séminaire.
Après une bonne séance de team building il a fini par troquer sa soutane contre sa combine.
On remercie le rosé de Côtes de Thau qui a joué le rôle de catalyseur dans l'affaire.
L'essentiel est là: l'équipe du WSB22 est soudée, motivée et prête à en découdre demain.
Pour l'heure la trame a repris ses droits, les volets claquent et le chalet vibre.
Dans son lit chacun s'interroge: "Je mets quoi demain ? Une 4m, une 4.5m, un aileron de 29, de 31, typé slalom ou speed ? Un départ au bateau ou sous le vent ?"
Des questions qui vont encore troubler notre sommeil de bienheureux....

Manche de looze hier avec un AR seulement en 4.5 et 90 litres (plus petit combo dispo). Mal réglé, pris à froid, pas suffisamment navigué avec le matos, belle leçon d'humilité !
Aujourd'hui, pas eu les coucougnettes de partir après le briefing de Mister Bru: pas envie d'y laisser mon matos.
Finalement c'était tout à fait jouable, grosse déception, too bad.
C'est la vie du windsurfeur, un jour tu perds, le lendemain tu perds aussi

Saison 2.
Épisode 2: la préparation.
On attend la tram pour jeudi, elle va être musclée.
Pour le moment c'est la petole mole, y'a pas un pet de lapin, les jeunes rongent leur frein avec la testostérone qui atteint atteind des pics de production insoupçonnés.
Je ne voudrais pas être à la place des girls qui vont faire le concours de t-shirts mouillés demain soir...
Les anciens ne se laissent pas abattre, ils s'affutent tranquillement: BBQ, rosé.
Ambiance tip top en tous cas.
Chacun se fixe des objectifs .
Au final on a tous le même (sauf un): fumer JLA

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Saison 2.
Épisode 1: le trajet vers Gruissan.
Un peu de mal à ranger le matos dans le camion.
Après avoir enlevé et remis deux trois fois les planches et les voiles, on trouve quand même un rangement qui colle.
Faut dire aussi que les deux plus gros trucs à emporter étaient une Isonic 127 et un mât de 490 en livraison pour Founette. Après avoir plié un peu le mat et compressé le flotteur c'était Ok
Départ à 9:15 de Tregastel.
Trajet tranquille avec la température qui monte au fur et à mesure de la journée (32 deg), puis qui redescend en fin de journée (18 deg).
Arrivée à 20:00 au chalet â Gruissan.
Ambiance 37,2 deg (pour ceux qui ont vu le film): ça fait un peu ville fantôme avec des centaines de chalets un peu délabrés.
JLA était motivé pour aller nager en arrivant mais a préféré la bière locale finalement.
Peu de monde pour le moment, quelques aficionados qui ont déjà pris les meilleures places pour les camions et espaces de greage.

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Session St-Sauveur en Falcon 90 et Aero 5.4.
Un peu comme Laurent, démarrage avec de mauvais réglages (bouts de harnais, voile trop plate).
Au début beaucoup de mal avec la voile (fonctionnement on/off), puis mieux en l'ayant creusée (wish en négatif même). Aileron un peu fort aussi (vmax31), sur un plan d'eau bien défoncé par endroit.
Puis ça a molli un peu vers 18H30, j'ai changé de voile pour l'Aero 6.2.
Du monde sur l'eau, c'était sympa.
Florian en pleine forme en Patrick (c'est pas une contrepétrie) et en GSR 5.0 !

St-Sauveur vers 17h pour se rattraper de la séance d'hier "je fais de la vague avec mon matos de slalom".

St Sauveur ou le centre de vacances du Baly.
Vers 17:30.